Inca, fils de Florent Pagny, a révélé de rares confidences sur sa relation avec son père en mai dernier dans une chronique du magazine Gala.
Le premier pour un jeune homme, généralement très prudent.
Florent Pagni a fait une apparition remarquée lors des demi-finales de The Voice ce samedi 27 mai. La surprise qui a ravi les fans du chanteur était ravi de le voir en si bonne forme.
Sur Telematina, il s’était rassuré sur son état de santé quelques mois après avoir livré la moins bonne nouvelle sur Sept à Huit.
« Je me sens plutôt bien sinon je ne serais pas là, mais c’est vrai que toutes ses vies, plus celle-ci, sont un peu lourdes à un moment donné, mais c’est sympa ».
Avait-il eu l’assistante de Giulia Vignali, avant d’assurer que ça représente « le poil de la bête » grâce à un traitement d’immunothérapie. Il reviendra également sur scène fin juin.
Dans les colonnes du magazine Gala, c’est son fils Inka, 27 ans, qui s’est identifié le premier dans sa relation avec son père.
Une prison de parole très rare d’un jeune homme qui ressemble de façon frappante à la compagne d’Azucena.
Ainsi, l’artiste avoue à la faveur de sa maladie qu’il « a compris qu’il (son père, ndlr) n’est pas éternel ».
« Nous nous voyons beaucoup plus souvent qu’avant.
Il évoque ensuite un peu plus sa relation avec Florent Pagni. « Il est là pour me guider. Encouragez-moi. Protégez-moi », dit-il.
« Je sais à quel point j’ai de la chance de l’avoir à mes côtés », ajoute-t-il. Il souligne que son père est « courageux et bienveillant ».
Selon lui, le point de vue général. « Je vois beaucoup de gens autour de lui qui lui témoignent leur affection », note-t-il.
« Mon père a toujours été proche de sa famille. Il n’a jamais pensé qu’à son visage », se réjouit-il.
Florent Pagny a vanté les qualités artistiques de ses deux enfants, vraiment « doués ».
Inka décide de se consacrer au street art, et sa sœur Ael devient photographe.
Sur le plateau de Vivement dimanche, leurs parents se souvenaient fièrement des leurs.
« Après avoir obtenu son brevet de pilote, il est allé faire ce tableau, et depuis, tout d’un coup.
Beaucoup de gens ont commencé à les appeler pour qu’ils viennent faire d’autres fresques », explique Florent Pagny à Michel Drucker à propos de son fils.
« Alors lui, il y a des choses qui se passent qui n’ont pas été données, la peinture, ce qu’on appelle le street art.
Et il est très heureux », a-t-il ajouté. Quant à sa fille, il a déclaré qu’elle avait « un bon œil » et « prenait de très bonnes photos ».
« Et elle est heureuse de développer ce don là-bas », a-t-il conclu.